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Quels sont les métiers d'avenir en droit ?


Le droit est une matière vivante et il doit évoluer aussi rapidement que notre monde, alors quels métiers, naissants aujourd’hui, attendent les juristes de demain ? Quel avenir pour les professions juridiques ? Juriste TIC, juriste RGPD (DPO), juriste compliance, délégué à l’éthique numérique, digital legal officer… Avec l'École Supérieure des Métiers du Droit (ESMD), on vous dit tout sur 5 métiers juridiques d’avenir 🤓

 

Sommaire :


 
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Aujourd’hui, ces nouveaux métiers qui naissent pour répondre à des besoins récents, sont souvent fusionnés, voire confondus, au sein des entreprises. Ainsi, par exemple, vous trouverez souvent des offres d’emploi mêlant les différentes compétences de ces professions faisant l’objet de notre article.

Il suffit de voir comment sont rédigées les fiches de postes sur des sites de recrutement comme Indeed, le Village de la justice, ou encore Juriswork.


Naturellement, avec le développement des technologies et des réglementations, les besoins des employeurs se trouvent de plus en plus précis. Aussi, les métiers tendent logiquement vers une spécialisation. On vous dit tout sur ces métiers du futur, et qui recrutent !


Juriste TIC


Juriste en TIC, c’est quoi ?

sondage métier juriste TIC

📱 Le juriste en nouvelles technologies de l’information et de la communication (TIC) est un nouveau métier spécialisé dans toutes les questions juridiques liées à l’émergence des hautes technologies en matière d’information (informatique, logiciels) et de communication (Internet, smartphone).


Au sein d’une entreprise, le juriste TIC est donc un professionnel qui :

  • assiste les équipes pour la rédaction des contrats, conventions, dossiers et autres documents en lien avec les nouvelles technologies ;

  • maîtrise parfaitement les lois relatives à l’informatique et aux technologies pour conseiller et défendre au mieux les intérêts de l’entreprise.


🍊 Plus simplement : un juriste en TIC est un super-héros qui permet aux organisations de comprendre la réglementation régissant les pratiques en ligne (achat, vente, utilisation de données, par exemple), avec l’objectif de se mettre en règle et d’éviter d’éventuelles sanctions.


Ça recrute ?


Études pour devenir juriste TIC


Pour devenir juriste TIC, il est impératif de posséder un bac +5. Le début du socle commun est toujours une Licence de Droit, et c’est au niveau du master que les étudiants se spécialisent.


En effet, en fonction de vos compétences et appétences, vous pouvez vous orienter vers :

  • 💸 un Master en Droit des affaires ;

  • 👩‍💻 un Master en Droit du numérique ;

  • 💻 un Master en Droit du multimédia et de l’informatique, etc.

Vous pouvez également opter pour des parcours plus professionnalisants grâce à l’alternance. Ainsi, l’ESMD propose un Mastère Juriste d’affaires et Legaltech, qui ouvre la voie à plusieurs professions : data protection officer, spécialiste cyberrisques, etc.


Missions du juriste en TIC


Les missions du juriste TIC varient énormément en fonction de l’entreprise pour laquelle il travaille. Il est donc indispensable de bien lire les offres d’emploi pour vérifier que cela correspond à vos attentes. Néanmoins, vous pourrez trouver des missions telles que :

  • ✅ l’accompagnement des équipes vers les nouvelles technologies ;

  • ✅ l’assistance et le conseil en matière contractuelle ;

  • ✅ l’assistance dans la gestion de dossiers contentieux ;

  • ✅ l’exécution d’expertises juridiques ;

  • ✅ la participation à des projets de digitalisation ;

  • ✅ la réalisation d’actions internes de sensibilisation en matière de TIC, etc.

Qualités et compétences du juriste TIC


Pour être un bon juriste TIC, il y a des compétences et des qualités qui sont indispensables !


Par exemple, ce métier étant en constante évolution, il est fondamental de posséder de bonnes capacités d’adaptation. Le juriste doit évoluer en même temps que le droit, s’il ne veut pas être dépassé.


Ceci implique également de la réactivité : face à une nouvelle technologie, le juriste TIC doit analyser au mieux la situation pour proposer des solutions adaptées aux besoins de son entreprise.


Enfin, si ce métier vous intéresse, sachez que les employeurs attendent souvent que vous :

  • maîtrisiez certains outils informatiques ;

  • parliez couramment anglais (eh oui, aussi peu intéressants soient-ils, vos cours d’anglais juridique sont importants !) ;

  • soyez pragmatique et rigoureux.

Salaire du juriste en TIC


En début de carrière, un juriste TIC peut gagner 2 900 euros brut par mois.


Comme dans la plupart des professions, cette rémunération est extrêmement variable en fonction de divers critères : formation, type d’employeur, région, expérience du juriste, etc.


Par exemple, entre 3 et 6 ans d’expérience, le salaire fixe brut annuel du juriste TIC peut osciller entre 37 000 et 45 000 euros. Au-delà de 6 ans, cette rémunération peut varier entre 45 000 et 80 000 euros.

 
 

Juriste RGPD (DPO)


Juriste en RGPD, c’est quoi ?


🌐 Le juriste RGPD (règlement général sur la protection des données), aussi appelé le DPO (data protection officer… Parce qu’on aime bien parler anglais chez Pamplemousse) est un des nouveaux métiers du droit et traite de la protection des données personnelles au sein d’une entreprise.


En d’autres termes, le juriste RGPD est la personne qui assure la conformité de sa société avec tous les textes applicables en matière de protection des données personnelles (aka toutes les informations se rapportant à une personne physique identifiée ou identifiable. Merci la CNIL pour la définition !).

 

❤️ Bon à savoir : C’est le Règlement Général sur la Protection des données, qui encadre le traitement des données personnelles sur le territoire de l’Union européenne (et qui s’inscrit dans la continuité de la Loi française Informatique et Libertés de 1978), qui a permis l’éclosion de ce nouveau métier de juriste RGPD.

 

🍊 Plus simplement : un juriste RGPD c’est une sorte de super-héros qui protège la vie privée des gens et leur sécurité sur internet. Il ne veut pas que les données (adresse, numéro de téléphone, photo, données de navigation…) qui appartiennent aux gens tombent dans les mains de personnes ou d'entreprises qui ne devraient pas les avoir (et qui pourraient en faire mauvais usage). Capici ?


Études pour devenir juriste RGPD (DPO)


Comme le juriste TIC, le DPO doit posséder un bac +5 dont la base sera aussi une Licence en Droit.


Il est également possible de débuter avec des études en informatique (DUT ou École d’ingénieur), mais vous risquez de rencontrer des difficultés pour acquérir les connaissances juridiques nécessaires.


Ensuite, plusieurs masters sont envisageables :

  • 💸 un Master en Droit des affaires ;

  • 👩‍💻un Master en Droit du numérique avec une spécialisation dans la protection des données personnelles ;

  • 💻 un Master en Droit du multimédia et de l’informatique ;

  • 🗃️ un Mastère spécialisé dans le Management et la protection des données, etc.


Missions du juriste RGPD (DPO)


Tout comme son confrère spécialisé en TIC, le juriste RGPD peut effectuer de multiples missions en fonction de l’entreprise par laquelle il est employé. Ainsi, il peut être amené à :

  • ✅ assister les équipes dans leur mise en conformité RGPD ;

  • ✅ contribuer au déploiement de nouveaux outils et méthodes de traitements de données ;

  • ✅effectuer de la veille juridique pour être en conformité avec les déclarations légales nécessaires (ex. : celles de la CNIL) ;

  • ✅ former et sensibiliser les collaborateurs ;

  • ✅ gérer les violations de données personnelles ;

  • ✅ identifier les risques RGPD et sécuriser les projets, etc.

 

❤️ Le saviez-vous ?

42% des étudiants sont intéressés par les métiers du droit liés au numérique.

 

Qualités et compétences du juriste RGPD (DPO)


Les qualités et compétences nécessaires à l’exercice du métier de juriste RGPD peuvent être classées en deux catégories.


D’une part, le data protection officer doit avoir des compétences juridiques solides comme :

  • la connaissance des textes légaux et réglementaires ;

  • la maîtrise des formulaires de recueils de données…


D’autre part, le DPO doit également posséder des compétences informatiques telles que :

  • la gestion de diverses procédures (ex. : support DSI pour élaborer et suivre des procédures de violation des données personnelles) ;

  • la maîtrise des audits de systèmes ;

  • ou encore les procédés de chiffrement et d’anonymisation.

Au-delà de toutes ces compétences, quatre qualités sont indispensables à cette profession : la communication, l’esprit de synthèse, la rigueur et la parfaite maîtrise de l’anglais.


Salaire du juriste en RGPD


Le salaire du juriste RGPD fait l’objet de grandes variations.. Ainsi, une étude du gouvernement sur les DPO a relevé des salaires annuels bruts allant de 25 000 euros à 85 000 euros et plus.


D’après cette même enquête, 56% des DPO perçoivent une rémunération annuelle brute inférieure à 45 000 euros.

metiers droit

Juriste Compliance


Juriste en compliance, c’est quoi ?


🤓 Le juriste compliance (ou compliance officer) est une nouvelle profession à mi-chemin entre le juriste RGPD et le délégué à l’éthique numérique puisqu’il fait respecter les normes juridiques et éthiques afin d’éviter toute corruption.


Le Cercle de la compliance a d’ailleurs donné une définition de ce domaine. Ainsi, la compliance correspond à « l’ensemble des processus qui permettent d’assurer la conformité des comportements de l’entreprise, de ses dirigeants et de ses salariés aux normes juridiques et éthiques qui leur sont applicables ».


🍊 Plus simplement : le juriste en conformité est un super-héros qui fait en sorte que l’entreprise respecte bien toutes les règles dans divers domaines. Il doit notamment gérer et calculer les risques, tout en mettant en place un programme de conformité anti-corruption pour son entreprise. Cela peut se faire dans un contexte national ou international, d’un point de vue sécurité, santé, environnement, des conditions de travail…


Études pour devenir juriste en conformité


Comme tous les juristes, le spécialiste compliance doit débuter son cursus par une Licence en Droit. Il est possible d’être issu de parcours moins juridiques, tels que la comptabilité ou la finance, mais il sera impératif de compléter ces lacunes par une formation en droit.


Ensuite, pour achever sa formation et obtenir son bac +5, l’étudiant peut poursuivre avec :

  • 💰 un Master Droit bancaire et financier ;

  • 💹 un Master Droit et finances ;

  • ⚖️ un Master Juriste conformité, etc.

Il est également possible d’exercer cette profession grâce au Mastère Juriste compliance, proposé par l’ESMD, en initial ou en alternance. De multiples enseignements y sont proposés, tels que :

  • le droit de la concurrence ;

  • le droit des sociétés (gouvernance) ;

  • le management des organisations complexes ;

  • la sécurité des systèmes d’informations et RGPD ;

  • la transformation digitale des organisations, etc.


Missions du juriste en compliance


Les missions du juriste compliance sont organisées autour du contrôle et de la lutte (évidemment, on ne parle pas ici de sports de combat…). Ainsi, le compliance officer doit :

  • ✅ contrôler les règles de déontologie de l’entreprise et effectuer des contrôles et des audits internes pour vérifier leur bonne application ;

  • ✅ analyser les propositions de contrats des fournisseurs ainsi que des prestataires ;

  • ✅ contrôler et suivre la cartographie des risques ;

  • ✅ lutter contre le blanchiment et la fraude ;

  • ✅ sensibiliser et former les membres de l’entreprise sur la compliance.


Qualités et compétences du juriste compliance


Pour mener à bien ses missions, le compliance officer doit être doté d’un esprit d’analyse et de synthèse. C’est indispensable pour gérer de multiples dossiers tout en sachant lesquels doivent être priorisés.


C’est aussi important que le juriste compliance soit organisé et rigoureux : en matière de corruption, aucune erreur ne peut être permise.


Enfin, la maîtrise de l’anglais est toujours fortement recommandé ainsi que des compétences solides en droit des contrats.


Salaire du juriste en compliance


Les juristes juniors compliance débutent leur carrière aux alentours de 40 000 euros brut par an. Au cours de leurs premières années d’exercice, ce salaire peut osciller pour atteindre les 50 000 euros.


Ensuite, grâce à leur expérience et à leur ancienneté, les juristes compliance pourront prétendre à des salaires supérieurs et certains peuvent avoisiner jusqu’à 80 000 euros brut par an.


 

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Délégué à l’éthique numérique


Délégué à l’éthique numérique, c’est quoi ?


💻 Dans une entreprise, le délégué à l’éthique numérique (ou le data ethic officer) est un nouveau professionnel qui concilie innovation digitale, droit et éthique.


Avec l’apparition de nouvelles technologies telles que les intelligences artificielles (IA), nos sociétés ont besoin de plus d’encadrement afin d’éviter d’éventuelles dérives (et se protéger d’un remake du film I, Robot).


Et c’est précisément sur ce point que le rôle du délégué à l’éthique numérique est indispensable ! Grâce à lui, les entreprises peuvent développer leurs technologies tout en restant respectueuses des politiques éthiques existantes.


🍊 Plus simplement : le délégué à l’éthique numérique est un super-héros qui protège les droits humains de tous les possibles dangers que pourraient présenter l’intelligence artificielle.


Études pour devenir data ethic officer


Aujourd’hui, il existe plusieurs parcours certifiants qui permettent d’exercer celle nouvelle profession qu’est le délégué à l’éthique numérique.

 

❤️ Bon à savoir : contrairement aux idées reçues, le délégué à l’éthique numérique n’est en aucun cas le garant de la cybersécurité de l’entreprise. Son objectif consiste à inculquer et à faire respecter une culture éthique au sein de l’entreprise.

 

Missions


Les missions du délégué à l’éthique numérique peuvent être résumées en 3 actions : analyser, conseiller, informer.


Analyser :

  • ✅ l’utilisation du numérique, et particulièrement toutes les technologies relatives à l’intelligence artificielle ;

  • ✅ le comportement de l’entreprise au regard des politiques éthiques ;

  • ✅ l’impact de l’intelligence artificielle sur les droits de l’homme pour proposer des emplois des technologies plus éthiques.


Conseiller :

  • ✅ l’entreprise au regard de son utilisation des technologies (outils, process) ;

  • ✅ les équipes en proposant des plans d’actions dits éthiques.


Informer :

  • ✅ les équipes en organisation des actions de sensibilisation à l’éthique numérique ;

  • ✅ les équipes en proposant des formations sur la façon d’utiliser les nouvelles technologies, dont notamment l’intelligence artificielle.


Qualités et compétences du délégué à l’éthique numérique


Deux qualités sont fondamentales au délégué à l’éthique numérique : la probité et l’indépendance. Si vous vous visualisiez déjà en avocat véreux tout droit sorti d’une série, data ethic officer n’est pas le métier qu’il vous faut.

En effet, pour faire respecter l’éthique au sein de son entreprise, le data ethic officer se doit d’être scrupuleusement honnête et objectif. Il doit savoir prendre de la hauteur et ne pas se laisser influencer.


Autrement dit, il doit être impartial : il en va du bien-être des droits de l’homme au sein de son entreprise !


Ensuite, comme ses autres confrères des professions d’avenir, il est préférable que le délégué à l’éthique numérique :

  • maîtrise l’anglais (lu et parlé) ;

  • suive minutieusement l’actualité éthique, juridique et technologique pour ne pas perdre en compétence ;

  • connaisse les évolutions en matière d’intelligence artificielle.


Salaire du délégué à l’éthique numérique


La particularité des nouveaux métiers du numérique est que les salaires de ces professions sont extrêmement variables, surtout en fonction des entreprises qui recrutent.


Il est donc difficile d’obtenir des chiffres précis, mais on peut estimer le salaire d’un data ethic officer entre 40 000 et 60 000 euros bruts par an.

 

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Digital Legal Officer


Digital legal officer, c’est quoi ?


Le digital legal officer est le copilote du chief digital officer : grâce à lui, les entreprises peuvent effectuer leur transformation digitale en toute légalité !


En effet, avec les dernières évolutions digitales et technologiques des dernières années, les entreprises ont énormément évolué. Toutefois, il est impératif que ces évolutions se fassent en bonne et due forme, dans le respect des règles de droit.


Le rôle du digital legal officer est donc fondamental puisqu’il permet la viabilité des actions juridiques mises en place par les entreprises !


Études pour devenir digital legal officer


Afin de pouvoir conseiller convenablement les entreprises, il est préférable de débuter par une Licence en Droit. Celle-ci permettra l’acquisition d’un solide bagage juridique.


Ensuite, la nouveauté de cette profession fait qu’il n’y a pas un parcours type mais plusieurs parcours envisageables :


🤖 un Master Conseil en stratégie en transformation digitales ;

👨‍💼 un Master Management de la transformation digitale ;

👩‍💻 un Master Droit du numérique ;

💻 un Master en Droit du multimédia et de l’informatique, etc.


Missions


Les missions du digital legal officer sont très axées autour du conseil. Ainsi, il :

  • ✅ assiste les entreprises dans la mise en place de nouveaux cadres règlementaires ;

  • ✅conseille le chief digital officer dans la détermination des orientations juridiques des projets ;

  • ✅effectue régulièrement de la veille juridique autour de la transformation digitale, du développement des nouvelles technologies, etc. ;

 

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Qualités et compétences


La qualité première du digital legal officer est la polyvalence. Effectivement, il doit être un excellent juriste tout en maîtrisant parfaitement le numérique et ses évolutions.


Il doit également être force de proposition, pour aider au mieux le chief digital officer dans la direction de la transformation numérique.


Enfin, il est impératif que le digital legal officer maîtrise :

  • l’anglais (lu et écrit) ;

  • le droit du numérique ;

  • les fondamentaux en matière digitale.


Salaire du digital legal officer


Comme le délégué à l’éthique numérique, le digital legal officer fait partie de ces professions d’avenir en expansion, pas toujours connues du grand public.


Contrairement à certaines branches de métiers, il n’y a pas une grille de salaires précise, et la rémunération varie donc essentiellement en fonction de l’endroit où le digital legal officer est employé.


Conclusion :


Vous l’avez compris depuis la L1 Droit, notre matière évolue (parfois à retardement) avec la société et l’arrivée de nouvelles technologies (données personnelles, cryptomonnaies, plateformes digitales, intelligence artificielle…) et de nouvelles questions qui en découlent. C’est la raison pour laquelle nos sociétés voient éclore de nouvelles professions juridiques dans lesquels les juristes défrichent le secteur au fil du temps. Des métiers souvent passionnants tant les challenges intellectuels sont grands et novateurs !


Pour répondre aux besoins, certaines entreprises forment leurs juristes en interne ou grâce aux formations continues. Il existe par ailleurs des écoles, comme l’École Supérieure des Métiers du Droit, qui produisent des formations sur-mesure avec des enseignements pratiques et donnés par des professionnels.

 
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